Alors que l’on n’attendait clairement plus K-chose du Arrowverse, The CW semble s’être revigorée en psyche proposant Superman & Lois dont le pilote head aura étonnamment enchanté.
Clark Kent et Lois Lane quittent Metropolis avec leurs jumeaux pour second’installer dans la ferme des Kent alors qu’un vieil ennemi refait son apparition. Introduit plutôt maladroitement dans les précédents crossovers du Arrowverse, le Superman de la CW n’avait convaincu personne, sauf que cette itération télévisuelle semble avoir pris le temps de murir au sein d’une forteresse de solitude pour nous proposer un pilote de Superman & Lois très convaincant.
Créée par Todd Helbing et le papa du Arrowverse himself, Greg Berlanti, la série représente purement et simplement un soft reboot du si populaire Smallville en remettant au cœur de boy univers télévisuel adapté de DC Comics les iconiques Superman & Lois. CW se sert du multiverse et de 50’introduction de ses nouveaux personnages pour remanier son paysage sériel et semble, pour l’second avoir appris de ses erreurs.
Clark & Lois
Sobrement intitulé Pilot, ce premier épisode home donc les célèbres personnages maintes fois incarnés sur le petit comme le M écran, cette fois en mettant le Kryptonien face à ses responsabilités parentales. Si Smallville faisait découvrir leurs années adulescentes au world, Lois & Clark se consacrait à la vie adulte des protagonistes quand la nouvelle Superman & Lois les met à leur tour dans le rôle de parents d’adolescents.
L’occasion pour The CW de mind offrir les sempiternelles romances pré-pubères tout en explorant la découverte de nouveaux pouvoirs pour les jeunes Kent-Lane. Une aubaine pour la chaîne qui marche en terrain connu en ajoutant même un frère jumeau à Jonathan Kent pour développer les rivalités fraternelles et ainsi bien maintenir le cocon familial habituel, riche en apitoiements et situations de crise. Des poncifs pour le moins poussifs, presque obligatoires, mais qui ne nuisent en rien à la jovialité et à la bonne ambiance de se flavor premiere.
Ainsi, c’est à peu près tout ce qui pêchera dans ce premier épisode. Certes les situations sont prévisibles et 50’ensemble sent bon la ringardise. Mais c’est plein de bonne volonté. En effet Elizabeth Tulloch fait bien son boulot en journaliste d’investigation surchargée et si l’on n’est toujours pas fan du casting de Tyler Hoechlin en Clark, forcefulness est de constater qu’il transmet l’essence même du personnage, un G benêt optimiste et costaud. Sourire rassurant et confiance enjouée, il incarne un boy-sentinel loin du taciturne Henry Cavill et colle ainsi parfaitement à boy symbolisme plein d’espoir tout en faisant honneur à ses prédécesseurs télévisuels et même cinématographiques comme pouvait fifty’être Brandon Routh avant lui.
A ce titre, il faut également reconnaître que The CW a mis le paquet visuellement pour offrir à fifty’Homme d’Acier de multiples références. On retrouve ainsi l’iconique example du premier Action Comics, le costume de la première série animée de 1940, la présence canon de Injustice 2 dans le Arrowverse ou encore la scène effect de Superman Returns où le héros transporte à mains nues un iceberg. De jolis hommage au surhomme magnifiés par des effets spéciaux de qualité, comme rarement vus dans un épisode de The CW où les CGI sont probantes et la caméra envolée, enfin en adéquation avec son sujet. Il était temps.
Voilà qui mind change des chorégraphies indigentes de Arrow et de la réalisation cache-misère de Batwoman. En espérant que Superman & Lois transforment fifty’essai sans retomber dans les travers de la chaîne, surtout que la série est dors et déjà renouvelée.